Partenariat public-privé

I. Origine et contexte du Projet
I.1 La Communauté Économique des États de l’Afrique Centrale (CEEAC), créée en octobre 1983 et son Secrétariat Général mis en place en janvier 1985, compte actuellement onze États membres à savoir : l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée- Equatoriale, la RD Congo, le Rwanda, le Sao Tome & Principe et le Tchad.

Origine et contexte du Projet
1.1 Conformément aux objectifs et missions assignées à l’Office Riz de Ségou (ORS), et vu la nécessité de planifier de manière concertée et durable son action dans sa zone d’intervention, il a initié un projet de développement intégré et de résilience climatique des populations dans les Plaines du Delta 2 (PDIR – PD2, le projet). La conception du projet repose sur la mise en eau des plaines afin de permettre la mise en valeur durable des abondantes ressources en terres.

Background: The project rationale emanates from the dire need to increase access to safe, sustainable and inclusive sanitation and hygiene, with improved management of faecal sludge for people living in small and medium size urban centres in Ghana.

Background: The development agenda of the Government of the Republic of Zambia (GRZ) is articulated in the National Vision 2030 and the Seventh National Development Plan (7NDP - 2017-2021) which prioritize water and sanitation among the key sectors for economic growth. Accordingly, Government is implementing the National Urban and Rural Water Supply and Sanitation Program as a road map to improve access to sustainable water supply and sanitation services for Urban, Peri-urban and Rural dwellers in Zambia, and to achieve the Sustainable Development Goals.

Background: The rationale for the project is the need to increase access to safe, sustainable and inclusive sanitation and hygiene, with improved management of faecal sludge for people living in deprived urban communities in Uganda. The project forms as integral part of Government efforts to improve access to sustainable sanitation in line with the National Development Plan (NDP II) and Implementation Strategy (2017-2020).

Janvier 2013 - La municipalité de Seme-Podji a bénéficié d’un don de 1,1 million d'euros afin de financer la réhabilitation et l'amélioration de la gestion des déchets à Grand-Nokoué. Ceci devrait permettre l'amélioration des conditions de vie des habitants de Grand-Nokoué, la réduction de la propagation des maladies hydriques, tout en utilisant à bon escient les déchets collectés pour un traitement et une réutilisation comme engrais vendus aux agriculteurs à un prix compétitif.

ORIGINE DU PROJET: Le sous-secteur de l’assainissement au Togo a été négativement impacté par la suspen-sion de la coopération au développement, consécutive aux troubles socio-politiques des an-nées 1990 à 2005. L’accès des ménages aux toilettes a ainsi régressé de 37 % en 1990 à 34,9 % en 2010 (MICS, 2010). La Région centrale, dont la capitale administrative est Sokodé, s’est signalée par un taux de couverture plus faible (26,1 %), et des taux de prévalence de maladies d’origine hydrique des plus élevés.

La Tunisie, en raison de sa situation géographique entre la Méditerranée et le Sahara, est un pays aride sur la majeure partie de son territoire. Elle est classée parmi les pays se trouvant au-dessous du seuil de stress hydrique (450m3/an/hab. en 2015).

Novembre 2009 - Le Partenariat des opérateurs du secteur de l’eau (WOP) a bénéficié d’un don de 490 000 euros afin d'améliorer le service aux clients par le biais d'opérations de service public plus durables, notamment une amélioration de la qualité de service, de la performance financière, de la performance technique et de la couverture. L'amélioration de la performance financière visera à augmenter le ratio de recouvrement du coût de fonctionnement et l'efficacité de collecte, tandis que la performance technique s'attachera principalement à la réduction des pertes d'eau.

Mai 2013 - L'ONG locale Training Research and Networking for Development (TREND) a bénéficié d’un don de 1,1 millions d'euros afin de financer la construction d'une installation de traitement des déchets pouvant produire 500 tonnes d'engrais environ par an, et pouvant générer environ 580 000 kWh d'électricité par an à partir du biogaz produit par le processus.